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Énoncé de notre présidente et chef de la direction à propos du budget fédéral de 2024

Dans le budget fédéral présenté aujourd’hui, nous sommes heureux de constater l’engagement du gouvernement envers la recherche et le régime national d’assurance-médicaments. Cet engagement est essentiel à notre mission pour les personnes atteintes d’arthrite qui ont besoin de plusieurs approches en matière de nouveaux médicaments émergents et d’une couverture abordable pour des médicaments.

L’arthrite est la maladie chronique la plus répandue au Canada, touchant six millions de personnes et probablement davantage qui n’ont pas reçu de diagnostic. Elle est la principale cause d’invalidité au travail et coûte plus de 33 milliards de dollars annuellement à notre économie. L’arthrite est un précurseur d’autres maladies chroniques et elle est plus courante que le diabète, les maladies du cœur, le cancer et les accidents vasculaires cérébraux réunis. Nous sommes ravis de constater un investissement additionnel de 1,8 milliard de dollars sur cinq ans afin de soutenir la recherche. Bien que cette allocation soit essentielle, un financement ciblé pour la recherche sur l’arthrite est plus que jamais nécessaire.

L’investissement de 1,5 milliard de dollars dans la mise en œuvre d’un régime d’assurance-médicaments national élargira l’accès des patients aux traitements. Pour faire avancer les choses de manière efficace, le gouvernement doit s’engager auprès des patients et des intervenants dans le cadre de cette stratégie.

Puisque la réduction des délais d’attente pour les interventions chirurgicales est une priorité dans les ententes de financement bilatérales en matière de santé avec les provinces et les territoires, nous devons penser au-delà du financement. Nous encourageons le gouvernement fédéral à collaborer avec les gouvernements provinciaux et territoriaux pour élaborer une stratégie nationale axée sur la réduction des délais d’attente en fixant des objectifs et en faisant leur suivi, en optimisant les ressources et en tirant parti des modèles de soins novateurs. Afin d’aider à réduire le nombre d’opérations requises, une intervention précoce et un accès élargi aux soins et aux traitements doivent aussi être abordés.

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